Punaises de lit : les erreurs qui coûtent cher aux particuliers.

Vouloir gérer seul une infestation est compréhensible… mais souvent contre-productif. Voici les 5 erreurs les plus fréquentes, qui retardent la solution et aggravent le problème. ❌ 1. Traiter sans être sûr qu’il y a des punaises Beaucoup de gens traitent au moindre doute, sans vérification. Résultat : produits gâchés, stress inutile… et punaises toujours là.… Poursuivre la lecture Punaises de lit : les erreurs qui coûtent cher aux particuliers.

Hôtels, Airbnb, logements collectifs : protégez votre réputation grâce à la détection canine

Une punaise de lit dans un hôtel ou un Airbnb, c’est un mauvais avis en ligne immédiat, des réservations annulées, et une réputation entachée. Et souvent, ce n’est même pas de votre faute. Voilà pourquoi les professionnels de l’hébergement doivent miser sur la détection canine. 🔍 Une détection préventive, rapide et discrète Le chien peut… Poursuivre la lecture Hôtels, Airbnb, logements collectifs : protégez votre réputation grâce à la détection canine

Punaises de lit : pourquoi un bon suivi après traitement est indispensable.

Un traitement efficace ne suffit pas toujours. Même après une intervention sérieuse, une punaise oubliée ou un œuf éclos peut tout relancer. D’où l’importance d’un suivi post-traitement rigoureux, souvent négligé, mais essentiel. 🔄 Cas concret : une récidive évitée à temps Une cliente pensait être sortie d’affaire après un traitement. Aucun signe pendant 3 semaines,… Poursuivre la lecture Punaises de lit : pourquoi un bon suivi après traitement est indispensable.

Détection canine vs œil humain : pourquoi le flair l’emporte toujours

Chercher des punaises de lit à l’œil nu, c’est un peu comme chercher une aiguille dans une botte de foin. En revanche, un chien bien dressé peut les localiser en quelques secondes. Voici pourquoi les chiens sont aujourd’hui la méthode de détection la plus fiable au monde. 👁️‍🗨️ L’humain est limité… vraiment limité Même un… Poursuivre la lecture Détection canine vs œil humain : pourquoi le flair l’emporte toujours